Image trouvée sur le net
Les jours s’enfuient à tire d’ailes,
Les mots meurent dans l’oubli,
Ressuscitent dans une ribambelle
De douleurs, de doutes et de cris.
Où es-tu ? Toi, la paix de l’enfance ?
Où êtes-vous, joie et insouciance ?
Avenir, donne-moi une douce lumière
Apporte l’espoir à l’amour d’une mère.
Il pleut. Il pleut dans mon âme
Porte ouverte sur un triste horizon
Fenêtre murée sans sésame.
Soleil. Ouvre tes rayons à la guérison.
Puisse l’Amour guérir les tensions
Nées de mots irréels, dévastateurs,
Puisse l’Amour redonner des couleurs
A la tendresse des enfançons.
Une année s’ouvre sur un monde nouveau
Selon les prévisions des ancêtres Mayas.
Que celui-ci efface les peines d’ici-bas
Et redonne vie à la beauté des mots.